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New York Times Getting Closer to the Truth on the Resource War in the Congo

Although the New York Times did not reveal the whole truth in Jeffrey Gettleman's piece, Rwanda Stirs Deadly Brew of Trouble in the Congo , it no doubt laid the foundation for a more honest dialogue about the resource war in the Congo, which has resulted in dying and suffering of holocaust proportions.

It is only a matter of time before the New York Times and other mainstream media get to the root of the matter that both French and Spanish Courts have already broached regarding Paul Kagame and Rwanda's destructive actions in the Central African region. Even the International Court of Justice has weighed in on Rwanda's partner in Crime in the Congo; Uganda and its leader Yoweri Museveni, another staunch British and U.S. ally. In 2005, the court ruled that the Congo is entitled to $10 billion in reparations from Uganda because of the human rights abuses it committed in the Congo and the looting of Congo's resources. There is very little doubt that the court would have issued a similar ruling against Rwanda, especially considering that Rwanda is even more implicated in the Congo but the court lacked jurisdiction in the case brought to it by the Congo against Rwanda.

The New York Times and other media should consider asking people such as Bill Clinton, Tony Blair, Rick Warren, Bill Gates, Howard Schultz, Andrew Young, Cindy McCain and others why they have been silent about the atrocities in the Congo, when they are known to have the ear of Rwanda's leader Paul Kagame.

All of these individuals have an historic opportunity to use their notoriety, access and standing in the world to play a key role in ending what UN Secretary General Ban Ki-Moon calls one of the worst tragedies of our time or what former UN Official Jan Egeland calls "the killing fields of our generation." Can they really continue to remain silent about the Congo and travel the world as paragons of morality and human decency when they have the ear of someone who unleashed what the United Nations says is the deadliest conflict in the world since World War II?

Considering how vital Congo is to modern society and the world's fight against climate change - Congo is a part of the second largest rainforest in the world - Congo's issues are not just Congolese or African issues but are world issues and they demand frank and honest engagement and responses from world leaders.

The best way the West ( view Congolese leaders' and society's role and responsibility here ) can contribute to bringing an end to the conflict is not an intervention force but rather real intervention diplomacy. Western nations can take their cue from The Economist when it notes "Rwanda's President Paul Kagame is best placed to rein in General Nkunda's men, and must be pressed to do so, with the threat of aid withheld if he does not. In the long run, he must also make political space in Rwanda for the Hutu rebel forces who maraud through eastern Congo and give General Nkunda a pretext for his depredations."

The former Fort Leavenworth, Kansas military student, Paul Kagame is not destabilizing the Congo on his own. He certainly has the backing of the United States and British tax payers as Timothy Reid laid out while at the John F. Kennedy School of Government, Harvard University when he published "Killing Them Softly: Has Foreign Aid to Rwanda and Uganda Contributed to the Humanitarian Tragedy in the DRC" in the Africa Policy Journal, Spring 2006, Vol. 1 .

Maybe, just maybe, finally, we can have frank and honest talks about the Congo, put an end to the tremendous suffering and set my country on a path to peace and stability. We are hopeful that the Obama administration, if it will not listen to what Friends of Congo have been articulating for the longest, will at least in this case listen to the New York Times or the Economist and craft policies based on a sound assessment of the situation.

I have articulated our policy prescriptions in an article published by thedailyvoice.com entitled "Congo in Crisis: What President Obama Can Do To Right Past Wrongs In US Policy."

Kambale Musavuli
Spokesperson and Student Coordinator
Friends of the Congo

© 2008 Congo Vision


Le Journal New York Times approche la vérité concernant la cause de la Guerre au Congo.

Bien que l'article de Jeffrey Gettleman «  Rwanda Remue La Boue Meurtrière au Congo  » n'a pas révélé toute la vérité, il a, sans aucun doute, mis la lumière sur un point capital pouvant permettre un dialogue honnête concernant la guerre sur les ressources du Congo, cause de mort et de souffrance aux proportions de l'holocauste.

Ce n'est plus qu'une question de temps avant que le New York Times et les autres organes influents des media s'attaquent aux racines du problème que les courts Français et Espagnols ont déjà cerné en exposant les actions néfastes de Paul Kagame et du Rwanda dans la région de l'Afrique Centrale. Déjà, la Court Internationale de Justice est en train de peser le rôle de l'Uganda et son leader, Yoweri Museveni, un allié farouche de la Grande Bretagne et des USA et un partenaire dans les crimes du Rwanda au Congo. La Cour avait, en 2005, imposé à l'Uganda de payer une somme de 10 milliards de dollars US à titre de réparation pour les crimes d'abus des droits humains commis au Congo et pour le pillage organisé de ses ressources. La Court aurait pu, sans le moindre doute, prononcé le même jugement contre le Rwanda qui est plus profondément impliqué au Congo, n'y eut été le fait qu'elle n'avait pas de juridiction dans la plainte introduite par le Congo contre ce pays.

Le New York Times devrait envisager de poser des questions à des personnes comme Bill Clinton, Tony Blair, Rick Warren, Bill Gates, Howard Schultz, Andrew Young, Cindy McCain et autres pourquoi ils restent muets sur les atrocités au Congo alors qu'ils ont l'oreille de Paul Kagame.

Toutes ces personnalités jouissant d'une notoriété, accès et réputation mondiales, pouvaient jouer un rôle capital pour mettre fin à ce que Ban Ki-Moon, secrétaire général de l'ONU et Jan Egeland, un autre ancien officiel de l'ONU appellent, chacun, respectivement, la tragédie la plus terrible du monde et le champ de tueries de notre génération. Comment ces personnalités peuvent-elles continuer a demeurer muets a propos du Congo et voyager à travers le monde comme parangons de la moralité et de la décence humaine, tout en maintenant leur relations avec un homme qui a lancé contre le Congo ce que l'ONU considère come le conflit le plus meurtrier du monde depuis la Deuxième Guerre Mondiale?

Considérant combien le Congo est important dans la société moderne et dans la lutte contre le changement du climat - le Congo occupe la deuxième place au sein des forêts tropicales dans le monde - les problèmes du Congo ne sont pas uniquement Congolais ou Africains mais des problèmes du monde. Ces problèmes demandent une discussion et des solutions franches et honnêtes de la part des leaders du monde.

La meilleure voie pour l'Occident ( Voir le rôle et la responsabilité des leaders Congolais et de leur Société ici ) de contribuer à mettre fin au conflit n'est pas une intervention militaire mais plutôt un vrai effort diplomatique. Les pays Occidentaux peuvent s'inspirer de l'opinion du journal The Economist quand il signale que « le Président Rwandais Paul Kagame est mieux place pour s'imposer sur le General Nkunda et ses hommes et des pressions devraient être exercées sur lui, accompagnées des menaces de rupture de l'aide s'il n'agit pas dans ce sens. De plus, il doit ouvrir l'espace politique Rwandais aux criminels Hutu qui ravagent l'Est du Congo et éliminer ainsi le prétexte de Nkunda à la prédation du Congo ».

Paul Kagame, l'ancien étudiant de Fort Leavenworth au Kansas (USA) n'a pas le pouvoir, a lui seul, de déstabiliser le Congo. Il bénéficie certainement de l'aide des payeurs d'impôts des Etats-Unis et de la Grande Bretagne comme l'a affirmé Timoty Reid, alors étudiant à John F. Kennedy School of Government (Ecole John F. Kennedy en Matière de Gouvernement) de l'Université de Harvard dans un article publie dans Africa Policy, Spring 2006, Vol.1 (le Journal Politique Africain d'Automne 2006, Volume 1), et intitulé «  Les Tuer en Douceur: L'aide au Rwanda et Uganda a-t-elle Contribué à la Tragédie Humaine en République Démocratique du Congo?  »

Espérons, finalement, que nous pouvons maintenant engager un dialogue franc et honnête à propos du Congo; mettre fin à la grande souffrance de notre peuple et lancer mon pays sur la voie de la stabilité. Nous avons l'espoir que si l'administration du président Obama ne veut pas écouter ce que Friends of the Congo (les Amis du Congo) ne cessent de proclamer depuis longtemps, il écoutera au moins, dans ce cas, l'opinion de New York Times et The Economist dans l'élaboration d'une politique bien pensée sur la situation au Congo.

J'ai eu l'occasion d'articuler certaines prescriptions de notre politique dans un article publie par thedailyvoice.com sous le titre «  Le Congo en Crise: Qu'est-ce que le Président Obama peut faire pour Corriger les Erreurs Passées de la Politique des USA  ».

Kambale Musavuli
Porte-parole et Coordinateur des étudiants
Friends of the Congo

Autres liens:

Faites savoir la nouvelle administration des USA que le Congo devrait être une priorité de ses affaires étrangères.

Joignez la Campagne mondiale « Rompre le Silence » sur la situation au Congo.

Rapper and Spoken Word Artist Omekongo's "Welcome to the Congo"

Powerpoint Primer on the History of the Congo (PPT)

Dan Rather All Mines Report on I-Tunes

FAIR on media coverage of Congo

 

 
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